Emmanuelle Michaux | Journal

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Actualité et coups de coeur de l’artiste au fil du temps

La gigantomachie de l’arbre et de la pierre. #em

La gigantomachie de l’arbre et de la pierre. #emmanuellemichaux

Chiharu Shiota @le_grand_palais

Chiharu Shiota @le_grand_palais

“L’arbre devient solide sous le vent” Sénè

“L’arbre devient solide sous le vent” Sénèque
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“Au lieu de laisser le temps nous broyer lenteme

“Au lieu de laisser le temps nous broyer lentement, nous avons cru bon de renchérir sur lui, d’ajouter à ses instants les nôtres” Cioran
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@museelouvre Nocturne

@museelouvre Nocturne

“Ne soyez pas arrogant. Le cercle parfait de la

“Ne soyez pas arrogant. Le cercle parfait de la lune ne dure qu’une nuit.” Sengai
#emmanuellemichaux

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#emmanuellemichaux

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Flash-back 2017 “Les petites histoires” Pièce

Flash-back 2017 “Les petites histoires”
Pièce unique. Feuille d’or 22 carats, Impression jet d’encre sur papier – 15,5 x 20,5 cm
Dans un cadre posé, trois photogrammes qui se suivent, des visages masqués par des feuilles d’or et une petite histoire écrite à la main.
Cette série propose des amorces narratives, vraies ou inventées, à des films amateurs qui le plus souvent semblent sans histoire.
La série a entièrement disparu dans un cambriolage. Souvent, je me demande où elles sont.
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Watteau, Bresson, tout est dans le regard de l’âne.

Bruno Liljefors au @PetitPalais_

Bruno Liljefors au @PetitPalais_

« Au milieu de l’hiver, j’apprenais enfin qu

« Au milieu de l’hiver, j’apprenais enfin qu’il y avait en moi un été invincible. » Albert Camus

Flash-back 2012-2015 - Série « Trois secondes

Flash-back 2012-2015 - Série « Trois secondes et deux images » Collage papier et acrylique sur toiles – Dimensions 120 x 80 cm
Dans la Chambre Claire Roland Barthes a parfaitement défini cette différence entre le cinéma et la photographie. « Au cinéma, sans doute, il y a toujours du référent photographique, mais ce référent glisse (…) Dans la photographie, l’immobilisation du Temps ne se donne que sous un mode excessif, monstrueux : le Temps est engorgé. »
C’est cet « engorgement du Temps » que je vais rechercher dans ce travail, en immobilisant le processus du défilement et en choisissant cinquante photogrammes qui se suivent. Cinquante photogrammes, soit trois secondes et deux images de film tourné à seize images seconde.
Par là même, je souligne les manques de cet enregistrement. S’il y a vie sur l’écran, il y a aussi absence, noir, mort, entre les images.
L’oeuvre s’inscrit dans la tradition picturale des vanités.
Exposition : artgenève 2016 – Galerie Patrick Gutknecht

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